Émission radio hebdomadaire à saveur philosophique

152 – Il ne faut rien

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152 – Il ne faut rien

 

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Au fond qu’avons nous vraiment à faire? Mieux vaut regarder le monde avec un sourire, être plus détaché et surtout être intensément. Si nous n’opposons pas de résistance au mouvement ontologique de la vie, toutes les choses vont tomber en place car ce qui nous est dû en vertu de ce que nous nous sommes donnés à être vient à nous sans effort.

Animation : Nicolas Lehoux, Robert Rivard, Michelle Charron et Jacques Couture

152 Propos sur le bonheur

 

Par |2017-08-11T10:29:12-04:0020 juin 2015|emissions|Commentaires fermés sur 152 – Il ne faut rien

151 – L’harmonisation est le contraire de la contestation et de la révolte

 

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La grande idée à poursuivre est celle de l’harmonisation. Pour être riche, il suffit d’harmoniser son esprit avec une banque ; pour être savant, avec une bibliothèque ; pour être heureux, avec les meilleurs éléments de la planète. L’harmonisation est le contraire de la contestation et de la révolte. Elle amène l’individu conscient à vivre en paix avec son milieu. Le sommet en ce domaine consiste à harmoniser tout son être avec l’énergie maîtresse de l’univers.

Animation : Nicolas Lehoux, Robert Rivard, Michelle Charron et Hajar el Mouden

Propos sur le bonheur

 

Par |2017-08-11T10:29:12-04:0012 juin 2015|emissions|Commentaires fermés sur 151 – L’harmonisation est le contraire de la contestation et de la révolte

150 – La volonté d’un seul peut changer le monde si elle est bien orientée

 

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Chacun doit se dire : je réussirai là où la foule échouera. Ce n’est qu’à ce prix que l’esprit de la foule sera vaincu et que la massification des individus deviendra impossible. Un homme peut avoir raison contre un million.

Animation : Nicolas Lehoux, Robert Rivard, Jacques Couture et Michelle Charron

Propos sur le Bonheur

 

Par |2017-08-11T10:29:13-04:005 juin 2015|emissions|2 Commentaires

La découverte estivale

 

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#7 : Sous l’influence du Bonheur

Bonjour à tous, vous écoutez l’émission Propos sur le Bonheur et bienvenue à la septième capsule Sous l’Influence du Bonheur avec Audrey. J’ai 19 ans et j’essaie de mieux comprendre le monde complexe dans lequel on vit, en espérant m’éclairer afin de prendre des décisions réfléchis et faire des meilleurs choix. Je commence avec une citation de Marcel Proust, «Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux».

Les arbres ont feuillé, les fleurs sont en pleine floraison, les oiseaux chantent; la chaleur et l’humidité se font ressentir, l’été s’est bien établie, même si en théorie il faudra attendre jusqu’au 21 juin pour officialiser son arrivée. Les cégépiens et les universitaires peuvent célébrer, une autre année d’achever sur la route des études qui peut parfois sembler longue, sans fin et remplie de petites embûches. Pour certains, c’est une réussite vers un autre chapitre et pour d’autres ce n’est qu’un répit avant de continuer à l’automne. Vraisemblablement, le temps des vacances et la saison estivale ont donné le coup d’envol avec une panoplie d’activités d’organiser en ville comme en campagne. La saison touristique à commencer dans les villages nordiques des Laurentides. Les paysages sont d’ailleurs des plus ironiques; encore des petites traces de neige sur les pistes de stations de ski, signe que l’hiver brutal n’est pas si loin derrière nous, malgré la température qui sous-entend la baignade et les coups de soleil. La ville, quant à elle, bourdonne de vie. Certains peuvent dire qu’il y a toujours de l’action; les klaxons, les sirènes et gyrophares, les alarmes. Mais de l’action ce n’est pas de la vie. Le bruit des insectes, des animaux et surtout des humains qui parlent sur les trottoirs. Les voisins qui se saluent et prennent des nouvelles après l’hibernation hivernale, les 5 à 7 sur les terrasses et même sur les balcons. Ca c’est le genre de vie dont je parle. Les gens sortent dehors marcher, faire des pique-niques. J’encourageais de sortir cette hiver, mais je vous avoue que l’été c’est bien plus facile. Pour les couche-tard, même le levé est plus facile. La clarté s’infiltre plus tôt, le vent doux souffle, un petit répit avant l’arrivée de la chaleur accablante.

Est-ce que vous avez commencé à planifier vos vacances? C’est le temps de la découverte, le temps de se promener dans l’inconnu. C’est bien de se reposer et de prendre un peu de temps pour faire absolument rien, mais c’est redondant, année après années, ne rien faire pour les vacances.

Pourquoi ne pas prendre un peu de temps pour explorer des régions touristiques? Si partir sur la route n’est pas une option pour vous, faire le touriste dans sa propre ville peut être comique et agréable. En plus, durant la saison estivale il y a plusieurs activités, même dans les banlieues de Montréal. Les fêtes de villes, les festivals en pleine-air, les expositions; ce sont des options moins couteuses qui sont créées dans l’optique de divertir tout d’abord ces propres citoyens. Allez voir des feux d’artifices, allez faire un pique-nique sur le Mont-Royale ou bien aux berges du Canal Lachine, allez voir une exposition horticole à Ste-Hyacinthe, allez voir l’exposition des 1001 pots à Val-David. Quelques exemples simples, certaines plus loufoques.

Peu-importe l’option que vous choisissez, l’importance c’est de sortir de sa routine, se sortir du quotidien et faire quelque chose de nouveau. Peut-être que ca consiste pour vous de faire une virée en voiture sans contrainte, sans destination, dans le but de découvrir un coin de la province que vous n’avez jamais visité, même si il s’agit seulement d’entrer dans une crèmerie et de se gâter un peu avant de repartir. Peut-être que ca consiste pour vous d’aller monter les marches de la Tour de l’Horloge du Vieux-Port de Montréal. Parfois le bonheur peut être aussi simple que ca et surtout quand le soleil se joint à la partie.

Merci beaucoup d’avoir été à l’écoute et c’est un rendez vous pour la prochaine fois. Écrivez-moi sur notre site web https://propossurlebonheur.com/ ! Je suis Audrey et c’était la septième capsule Sous l’influence du Bonheur à l’émission Propos sur le Bonheur.

Par |2017-08-11T10:29:13-04:005 juin 2015|Sous l'influence du Bonheur|Commentaires fermés sur La découverte estivale

André Moreau, le fondateur du Jovialisme

 

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Capsule Beauté de Jackie #18

À partir de maintenant, nous allons plonger au coeur même du Jovialisme, afin de mieux en saisir toute la portée. Mais tout d’abord, il faut savoir ceci : courageux sont ceux qui s’intéressent au Jovialisme, la voie occidentale de l’éveil ! Car je l’ai dit, il faut être fort pour s’éveiller !

Aussi nous faut-il, pour comprendre toute l’ampleur de cette belle philosophie, revenir un peu sur son fondateur lui-même, André Moreau. Quand cet homme est venu dire à la télévision, en 1986 (soit 13 ans après avoir reçu la grande révélation), qu’il était le Dieu-Vivant, on l’a pris pour un personnage prétentieux, un humoriste excentrique habile à faire rire les gens en leur disant qu’il se prenait pour Dieu, ou pour un fou mégalomane dangereux. Mais qui était-il donc vraiment, cet homme, pour oser aller dire une telle énormité à la télévision, puis par la suite aux autres médias, ces médias qui, on le sait, détiennent un pouvoir immense, celui d’informer, tout en désinformant.

Mais d’un autre côté, dites-moi, vous-mêmes, iriez-vous vous vanter, en public, d’être Dieu ? Iriez-vous annoncer, devant les micros, qu’il existe trop de chrétiens sur terre et pas assez de Christ, et, qu’en outre, le Dieu endormi ne peut s’éveiller que par le projet de le devenir ? Sans doute pas ! Eh bien, voyez-vous, lui, c’est ce qu’il a fait ! Et c’est ce qu’il n’a jamais cessé de faire, malgré toutes les railleries et les moqueries dont il fut souvent l’objet, malgré le ridicule dont il fut affublé, malgré qu’on le fit passer pour un penseur léger parce qu’il faisait de la télévision ou pour un blasphémateur parce qu’il incitait à bénir plutôt qu’à prier. Oui, André Moreau est toujours resté fidèle à lui-même, malgré le discrédit qu’on a jeté sur lui tout au long de ces années pour tenter de banaliser sa pensée et son œuvre philosophique.

Jamais, je le répète, depuis ce temps et, en dépit de cela, André Moreau n’a cessé de se proclamer le Dieu-Vivant et de nous encourager, aussi, nous tous, à nous accomplir sur terre. Jamais il n’a cessé de nous montrer la voie de la réalisation suprême (qui est celle de reconnaître notre identité divine) de façon à ce que nous puissions en arriver à nous sentir Dieu nous-mêmes, c’est-à-dire accomplis, plus heureux, plus grands, plus nobles. Rien, ni personne n’a jamais pu l’empêcher de nous déclarer que nous sommes Dieu, que nous devons réveiller en nous le Dieu endormi, que nous devons apprendre à nous comporter comme Dieu lui-même le ferait pour le faire exister!

André Moreau s’est proclamé le Grand Jovialiste annoncé par Nostradamus ! Qui de vous, dites-moi, serait prêt à assumer un tel rôle toute sa vie, sachant qu’on ne pourrait qu’en rire ? Qui de vous, aurait les nerfs assez solides, la constitution suffisamment forte, pour continuer, sans fléchir, à prodiguer un enseignement qui ne lui rapporte absolument rien ? Car c’est le cas ! C’est pourquoi, je vous le demande, qui peut-il bien être, cet homme, pour avoir eu la force de cautionner une telle charge toute sa vie, au détriment de sa propre réputation, de sa crédibilité, de sa réussite sociale, et même de ses revenus personnels puisqu’il fût rejeté de partout, universités et collèges d’enseignement supérieur, alors qu’il était déjà si diplômé? Qui peut être assez solide, et assez intègre, pour pouvoir assumer tout ça ? Dites-moi, en toute franchise, à part lui, connaissez-vous quelqu’un d’autre qui pourrait endosser, malgré toutes ces contrariétés, le titre du Grand Jovialiste annoncé par Nostradamus ? Sûrement pas, n’est-ce-pas ? Eh bien, peut-être serait-il temps, enfin, et en toute honnêteté, de se poser les bonnes questions à son sujet !

C’est pourquoi, je le répète, courageux sont ceux qui s’intéressent au Jovialisme ! Non seulement ils seront pointés du doigt par les esprits matérialistes grossiers qui sont incapables d’apprécier une telle philosophie et qui riront d’eux, mais en plus, ils auront à entreprendre un long travail d’harmonie sur eux-mêmes afin de développer leur propre éthique, celle qui en fera… d’irréductibles individus volontairement conscients. Car, nous l’avons vu, pour s’éveiller, il faut déjà posséder un moi fort, un moi capable de se convertir en ce qu’il y a de plus vaste en lui. Et c’est ce que propose le Jovialisme.

Donc, pour ceux qui croient (avec un certain mépris) qu’on peut aisément associer le Jovialisme à une partie de jambes en l’air, à une beuverie entre amis ou à un mode de vie dépravé ne pouvant qu’aboutir à la déchéance, eh bien moi, je vous dis ceci : détrompez-vous, bande de coincés, et venez faire la fête avec nous ! Vous verrez alors combien il est bon d’être heureux, et combien le plaisir conscient (je dis bien le plaisir conscient, celui qui ajoute une intensité à ce que l’on fait, qui nous apprend à voir Dieu « Je Suis » dans tout ce que l’on entreprend) ne peut jamais mener à la perte, ni à la déchéance, mais plutôt à la célébration de la vie, à la santé physique et mentale, à la belle folie créatrice qui concourt à notre rayonnement, bref au véritable  bonheur !

Or, qu’est-ce que le Jovialisme ?

C’est une vision intégrale de l’homme et de l’univers, une Weltanchaung, un art de vivre érigé en Système, élaboré à partir d’une philosophie vaste et complexe dont l’objectif est d’encourager l’homme à accéder à son immensité, à se sentir maître de sa vie, à cesser de s’agenouiller devant Dieu ou devant toute autorité autre que la sienne propre, à constituer son être, voire à s’éveiller !

Le Jovialisme est né pour satisfaire le désir essentiel de l’homme de se réaliser. « L’être est le néant surmonté dans la joie », proclame André Moreau. Le Jovialisme, c’est la philosophie du bonheur ! Nul ne sera heureux éternellement s’il ne peut instaurer en lui l’essence même du bonheur, dès maintenant.

Le Jovialisme, c’est le dimanche de Pâques sans le vendredi saint !

Pourquoi souffrir pour aller au ciel quand on peut apprendre à connaître le paradis sur terre, et ainsi se familiariser avec le bonheur de façon à le connaître à jamais !

Le bonheur est accessible à tous, mais beaucoup le refusent sous divers prétextes, considérant que la souffrance peut les mener plus facilement à la délivrance et à l’illumination. Chacun est libre de croire ce qu’il veut. Toutefois, pour ceux qui en ont assez de souffrir, pour ceux qui pensent que le bonheur est gratuit et qu’il peut même s’avérer un bon moyen pour s’accomplir, la voie du Jovialisme est à leur portée.

Cette philosophie est un système de pensée qui s’adresse à tous ceux qui aspirent au bonheur éternel, indépendamment de la race, de la culture ou de la couleur de la peau. Le Jovialisme nous enseigne à nous reconnaître comme étant l’autorité suprême dans notre vie, à assumer notre véritable identité, qui est divine.

Comprenez-vous maintenant pourquoi ce système philosophique est si contesté par l’Église qui préfère voir ses fidèles à genoux plutôt que debout, par toute autorité sociale ou politique qui veut garder la mainmise sur les endormis qu’elle peut contrôler à sa guise, et aussi par les nombreux agents de la loi générale, c’est-à-dire monsieur et madame tout le monde qui en sont encore à croire tout ce qu’on leur a dit depuis leur enfance sans jamais s’être demandé, une seule fois dans leur vie si, tout compte fait, on ne leur avait pas monté un beau grand bateau avec toutes ces histoires de péché et de rédemption, de sacrifices et de souffrances pour gagner leur ciel, d’obéissance aux autres et d’oubli de soi.

Ainsi, tout en nous rappelant ce que nous avons compris jusqu’ici, nous verrons, à partir de la semaine prochaine, de quelle façon cette grande philosophie, qu’est le Jovialisme, peut nous aider à nous éveiller, à sortir de notre sommeil, bref à convertir notre personne en ce qu’il y a de plus vaste en elle, afin d’être plus heureux.

Par |2017-08-11T10:29:13-04:0031 mai 2015|capsules beauté|Commentaires fermés sur André Moreau, le fondateur du Jovialisme

149 – Réaliser l’importance de servir notre essence

 

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Se sacrifier pour les autres est une très grave erreur, il vaut mieux s’aimer soi-même en dirigeant son regard vers son identité authentique. La véritable identité est l’expression de l’essence qui est ce qui nous sépare d’autrui, qui nous rend unique. Nous ne sommes pas des serviteurs lorsqu’on sert notre essence, car c’est comme une offrande à la partie supérieure de soi-même.

Animation : Nicolas Lehoux, Robert Rivard, Michelle Charron et Hajar el Mouden

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Par |2017-08-11T10:29:13-04:0029 mai 2015|emissions|1 Commentaire

148 – Mettre l’accent sur le plaisir plutôt que sur le besoin

 

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Flâner, prendre son temps, aimer discuter, se rendre des visites, aller dans les cafés voilà l’attitude idéale pour être heureux car le sage doit avoir du temps pour se consacrer à la pensée. Ainsi il conserve une attitude désinvolte, n’ayant pas d’objectifs au delà de ses forces il peut alors suivre sa pente naturelle et se laisser être.

Animation : Nicolas Lehoux, Robert Rivard, Jacques Couture et Hajar el Mouden

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Par |2017-08-11T10:29:13-04:0021 mai 2015|emissions|Commentaires fermés sur 148 – Mettre l’accent sur le plaisir plutôt que sur le besoin

Se comparer permet de s’aimer soi-même encore plus

 

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#3 : Le Gay Savoir

Au plaisir de vous retrouver chers auditeurs pour cette nouvelle chronique. Oui, observer les autres est ma quête constante et je suis fort motivé en ce sens.  Se comparer s’avère être à un niveau précis de conscience.  Dans ce bref exposé,  je désire vous communiquer mes observations,  comment ce regard porté vers les autres me stimule et contribue à l’éveil des sens et à m’apprécier encore plus tout en ayant une excellente confiance en moi, en me trouvant beau, désirable et ouvert à la communication charnelle.

Ainsi, regarder les autres est très riche en information.   Et je fais des parallèles entre le corps d’un mec, son comportement et ses préférences. Mon lieu de prédilection pour faire mes découvertes visuelles est certainement dans les centres sportifs… Mais aussi en se baladant sur la rue, en allant faire ses courses…

Dans les gyms, tant de moyens de sculpter son corps. Aussi, les exercices sont ciblés afin d’atteindre une transformation précise ou bien l’exercice s’adresse à une morphologie d’individu en particulier tel celui plutôt rond, l’autre avec de petites jambes et une forte poitrine… Il y a des mecs qui portent une ceinture spéciale à la taille avec une chaîne permettant de tenir un poids entre les jambes.  Je trouve cela rigolo,  phallique et je l’imagine nu avec cet objet.  Je dois reconnaître que mon monde des phantasmes est vaste.

Aussi, j’aime regarder les culturistes, ceux qui soulèvent des poids en étant sur le dos.  Je trouve étonnant comment la charge semble proportionnelle à la grosseur de leur pénis.  Je trouve impressionnant le spectacle de leur force et comment les formes du membre viril occupent une grande place dans le short du sportif.   Le phénomène contraire est aussi vrai, il y a ceux qui se développent beaucoup les muscles pour compenser  leurs manquements au niveau de la verge.

L’objectif de tous les individus qui s’entraînent vise la santé et la culture de la beauté des corps en mettant en valeur nos attributs. Par exemple, un homme avec des pectoraux bien développés dégage beaucoup plus d’assurance et de masculinité que celui qui n’en a peu…

En contre partie,  il y a le lot de tous ceux qui n’ont aucune motivation à l’entraînement et qui vont aimer leur corps tel qu’il est.   Ce corps peut être mince ou gros, beau ou peu proportionné… Donc,  il y a tant de diversités et de motivations à sculpter  ou non son corps.  Oui, il y a  un réflexe de comparaison. En suivant cette logique,  je me rends compte que mon corps est à l’image de mes pensées.   Je me sens en harmonie avec mon corps et ceux des autres.  D’autres peuvent avoir des corps plus beaux ou moins beaux que le mien et il est fabuleux de savoir que les corps sont diversifiés.

Ainsi, en portant mon regard sur autrui, je cultive et alimente ma propre satisfaction de moi même. Je bénis mon corps, ma beauté et les corps des autres. Je me réjouis si autrui a un plus beau corps, cela me donne de la motivation pour développer le mien, pour l’embellir. Ainsi, dans l’absolu et l’harmonie, tout est parfait !

Évidemment, il y a les vestiaires, bien qu’il y a des hommes qui se cachent pour toute sorte de raison, il y a d’autre part ceux qui sont à l’aise avec leur nudité. Puisque nous sommes dans un lieu de promiscuité, le désir peut se pointer. Il peut s’agir d’un regard porté vers moi, une sensualité sous la douche et voilà je me retrouve en érection. Il y a les états d’érection des autres mecs, j’ai vu des gars se masturber et d’autres ébats discrets. Il y a tout ce contexte d’interdit qui peut stimuler. Il y a tant à vivre mais il faut le dire, manifester ses désirs et se parler pour provoquer la suite…

Puisque le sujet vous a sans doute émoustillé, voici une vidéo d’un mec qui s’entraine nu. Il est proportionné et il a une belle manière de conserver son érection pour le temps des exercices. De plus, il s’avère que le gland de son pénis n’est pas déculotté en érection ce que j’aime particulièrement et qui ajoute à la beauté du spectacle ! Vous allez voir, c’est bien instructif ! Vous trouverez le lien de la vidéo ci-dessous.

http://mymusclevideo.com/7011/nude-workout/#.VVQKZ45_Oko

 

En terminant, je vous dis à la prochaine et prenez bien soin de vous.

Par |2017-08-11T10:29:13-04:0021 mai 2015|Gay savoir|Commentaires fermés sur Se comparer permet de s’aimer soi-même encore plus

147 – On n’impose pas la liberté, on la conquiert

 

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La liberté est un jaillissement et non un choix. On ne peut l’imposer à un individu ou à un peuple en prétendant le rendre libre. La liberté se fait à l’intérieur par une conquête sans compromis.

Animation : Nicolas Lehoux, Robert Rivard et Michelle Charron

liberté

 

Par |2017-08-11T10:29:13-04:0015 mai 2015|emissions|Commentaires fermés sur 147 – On n’impose pas la liberté, on la conquiert

146 – La simplicité est une vertu qui est la marque de l’être

 

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L’être sait toujours quoi faire au bon moment, il trouve des stratégies adaptées aux circonstances, il les épouse de l’intérieur… bref il nous montre toute chose dans sa simplicité. La simplicité de l’être ne va pas sans la complexité car elle est profonde et elle nous aide à comprendre toute chose du milieu d’elle-même.

Animation :  Nicolas Lehoux, Jacques couture, Michelle Charron et Robert Rivard

Simplicité

 

Par |2017-08-11T10:29:13-04:007 mai 2015|emissions|Commentaires fermés sur 146 – La simplicité est une vertu qui est la marque de l’être
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